Fast-fashion : L’amoralité ne peut pas être un modèle économique ! 

Fast-fashion : L’amoralité ne peut pas être un modèle économique ! 

Pendant que la France permet l’implantation des géants de la fast-fashion sur le territoire national, la France des très petites entreprises (TPE) — artisans, commerçants, indépendants — s’essouffle, s’épuise, et s’inquiète.

L’implantation d’un corner permanent Shein au BHV Marais à Paris est un coup dur porté aux commerces de proximité. Dans un contexte déjà sinistré avec une fréquentation en baisse et plus de de magasins vides, l’arrivée physique du géant de l’ultra-fast-fashion fragilise encore plus l’écosystème commercial français.

Le Syndicat des Indépendants (SDI), par la voix de Marc Sanchez, dénonce une « concurrence déloyale institutionnalisée » due aux produits à bas prix et à l’optimisation douanière de Shein.

Le SDI réclame un moratoire immédiat sur les ouvertures annoncées et l’application stricte des règles anti-ultra-fast-fashion (éco-contributions, publicité). Il demande également un plan de soutien ciblé pour les commerces indépendants de centre-ville afin d’assurer des conditions de concurrence loyale.

Les médias nationaux comme TF1 infos, RTL et bien d’autres ont partagé nos constats.

Une série d’articles intitulés « Zoom – Des magasins contestés avant d’ouvrir » est parue dans neuf éditions régionales du groupe EBRA : Le Dauphiné Libéré, Le Républicain Lorrain, L’Est Républicain, Vosges Matin, L’Alsace, Les Dernières Nouvelles d’Alsace, Le Journal de Saône-et-Loire, Le Progrès, Le Bien Public et Vaucluse Matin.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Suivez-nous sur les réseaux 👇

Ne passez pas à côté des infos essentielles pour les chefs d’entreprise !
Droits, actualités, nouveautés : restez informé et prêt à agir en nous suivant sur les réseaux sociaux.